11 - Emissions anthropiques d’aérosols

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Les aérosols (particules solides ou liquides en suspension dans l'air) ont des causes naturelles ou humaines. Exemples de causes naturelles : éruptions volcaniques, pollens, tempête de sable. Exemples de causes humaines : activités industrielles / combustion d'énergie fossiles, transport (diesel, usure des pneus et freins), agriculture. Les aérosols sont mauvais pour la santé et font partie de ce que l'on appelle "les particules fines".

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Cause

Emissions anthropiques d’aérosols

La combustion imparfaite des énergies fossiles entraine des émissions d'aérosols dans l'atmosphère.


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Conséquences

Emissions anthropiques d’aérosols

Certains aérosols ont un effet refroidissant, et d'autres un effet réchauffant (en fonction de leurs composition, de leurs altitudes, et même des saisons), mais au global, le forçage radiatif des aérosols est négatif et a donc un effet refroidissant. En effet les aérosols vont (1) réfléchir les rayons du soleil directement et (2) contribuer à la formation des nuages qui vont eux aussi réfléchir les rayons du soleil.


Emissions anthropiques d’aérosols

Même s'ils ont une durée de vie moins importante que les GES, l'émission continue d'aérosols augmente la charge en aérosols de l'atmosphère.


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Autre causes possibles

Emissions anthropiques d’aérosols

L'agriculture est responsable d'émissions d'ammoniac, via l'utilisation d'engrais et le bétail. L'ammoniac joue ensuite un rôle sur la formation d'aérosols.


Emissions anthropiques d’aérosols

Concernant les transport, il y a émissions d'aérosols à travers l'usure des système de freinage. Pour l'utilisation des bâtiments, un gros poste d'émission d'aérosols est le chauffage au bois surtout avec des foyers à faible rendement.


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Conséquence à ne pas faire

Emissions anthropiques d’aérosols

Les aérosols sont des petites particules en suspension dans l'air (particules fines, suies des volcans, ...) et n'ont pas d'impact sur la couche d'ozone. Il ne faut pas les confondre avec les bombes aérosols qui elles, utilisaient des gaz chlorés (CFC), qui étaient responsables du trou dans la couche d'ozone.